Mais alors que les différentes opérations sont souvent accompagnées d’une abondante communication, cette fois les crevettes ont pris le dessus. « Dans ces conditions, le court séjour à l’hôpital n’a guère ému les Brésiliens, en dehors de son noyau dur de partisans, qui croient encore au martyr mais qui ne représentent qu’à peine 20 % de la population, d’après les sondages. Pour les autres, qui auraient déjà choisi de ne pas le reconduire à la présidence en octobre 2022, on se délectait plutôt de la plaisanterie apparue dès la fin de la conférence de presse de mercredi : « Si un camarao [“crevette”] a provoqué un tel désordre au président, imaginez un lula[“un calamar”] », en référence à l’ancien président Luiz Inacio Lula da Silva, probable adversaire de Jair Bolsonaro à la prochaine élection présidentielle, et qui aurait une bonne longueur d’avance sur lui, selon toutes les enquêtes d’opinion », rapporte la correspondante du journal à Rio de Janeiro.
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