Il s’est écoulé six ans depuis votre intervention au Népal. Pourquoi avoir attendu pour publier votre roman ?
J’avais tout de même très envie de mettre dans un ouvrage cette incroyable expérience népalaise, mais je ne me sentais pas légitime pour écrire un récit d’aventure. C’est la rencontre il y a un an d’une personne formidable qui m’a incitée à écrire d’autres choses, plus légères qui m’a fait prendre confiance en ma capacité à raconter une histoire, une romance inspirée de ce que nous avons vécu là-bas. J’ai commencé un premier chapitre et je n’ai pas réussi à m’arrêter.
Vous risquez votre vie à chaque nouvelle intervention, que ressentez-vous quand vous réalisez que tout peut basculer ?
Faut-il avoir certaines prédispositions pour devenir sapeur-pompier ?
Que diriez-vous à la jeune génération pour l’inciter à s’engager ?
Il y a aussi la voie « sapeur-pompier volontaire » ou « réserviste » qui permet de s’engager dans le cadre d’un contrat de volontariat. C’est une manière de découvrir la réalité d’un métier fantasmé qui à ces bons aspects, mais également ses cotés sombres.
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