L’article du quotidien gratuit est intéressant parce qu’il donne la parole aux producteurs qui font un constat similaire sur l’inadaptation de leur activité avec les conditions climatiques et les ressources en eau qui sont rationnées.
Des voix s’élèvent pour demander la construction d’infrastructures de stockage d’eau et notamment des eaux de pluie, mais avec des restrictions imposées dès l’hiver c’est tout un modèle de production qui est en péril. « Au Verger bio de Véronique, on a revu l’irrigation à la baisse d’à peu près 40 %. C’est plus que l’effort de 25 %, exigé par les services de l’Etat. « On a fait plus, parce qu’on s’est dit que si jamais, en plein été, on nous dit “Vous n’avez plus le droit d’arroser du tout”, les arbres peuvent mourir en quelques semaines à peine, poursuit Jean Pratx. Si on les arrête d’un coup, ça peut aller, très, très vite. » Alors en baissant l’arrosage de plus d’un tiers, tout de suite, le verger s’habitue, un peu, au manque d’eau » rapporte 20 Minutes.
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