Les signataires ne sont pas tous spécialisés dans des questions environnementales ou écologiques, mais ils se retrouvent dans ce plaidoyer qui se présente comme non partisan. « Scientifiques issus de différentes disciplines, nous observons, analysons et anticipons les changements environnementaux en fonction des choix socio-économiques, tentons de déterminer leurs conséquences et d’évaluer la pertinence des actions envisagées.
“Quels que soient nos opinions politiques et nos engagements personnels, nous constatons avec inquiétude l’absence de débat démocratique dans la campagne présidentielle sur les graves bouleversements en cours et à venir, qu’ils concernent le climat, l’océan, la biodiversité ou les pollutions” » lit-on plus loin.
Le texte défend l’idée selon laquelle l’environnement est une des préoccupations majeures des électeurs. Et se désole de voir que seulement quelques aspects sont abordés avec pour effet de simplifier les enjeux à outrance : « Il est sans doute plus commode de réduire le débat sur les nécessaires transformations structurelles à un affrontement entre partisans du nucléaire et défenseurs des énergies renouvelables ; il est sans doute aussi plus confortable de confondre décarbonation de l’ensemble du secteur de l’énergie et production électrique bas-carbone, alertes sur l’état de l’environnement et militantisme radical, lucidité et catastrophisme. » Avant de lister les sujets clés et enjeux stratégiques dans le domaine.
Lire en intégralité la tribune publier sur le site France Info
Pour en savoir plus ou lire la suite : Source | Lien vers l'article