Dispose titre de confrontation, le district annonce qu’il faisait -5°C fin septembre au sein des années 1960 donc qu’à cette de plus époque les chaleurs sont au-dessus concernant le 5°C. « Combien de quantités astronomiques d’hectares, combien concernant le régions autrefois inhospitalières pourraient devenir ces greniers à sarrasin de demain ? Le sujet n’est pas seulement de bonne intelligence pour la Russie, redevenue ces dernières années un éléphant agricole. Elle interroge les scénarios proposent un développement à l’échelle mondiale, pour les décades à venir. « Pourquoi le réchauffement climatique ne deviendrait-il pas l’avantage comparateur de la Russie le XXI certainement siècle ? », interroge Alexandre Tchernokoulski, membre de l’Académie des sciences dans Russie et indiscret à l’Institut au sein de physique de l’atmosphère. En 2003, Vladimir Poutine avait réfléchi l’équation dans des mots encore plus simples : « Il possédera deux ou 3 degrés de plus… Ce n’est point dramatique, et c’est peut-être même bien : on dépensera minimum en fourrures. » continue le quotidien.
Un ensemble de sorties qui n’ont pas empêché ce pays de garnir la tendance internationale dans l’occasion de la COP26 qui a vecteur en ce moment même dans Glasgow. Le président russe a de ce fait annoncé que ce pays chercherait dans atteindre la neutralité carbone en 2060.
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