« Tous les chefs d’entreprise ne sont pas animés par la même conviction. Produire des produits plus respectueux de l’environnement, recourir à des modes de production moins énergivores cela répond pour certains à l’air du temps. Les entreprises se trouvent confrontées « à une demande sociale nouvelle, de la part de leurs clients ou de leurs partenaires, mais aussi à une pression normative », analyse Denis Ferrand, directeur général de l’institut Rexecode. Les notations ESG, fondées sur des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance sont de plus en plus scrutées par les actionnaires ou les investisseurs » poursuite le quotidien. On peut disserter des heures sur les intentions, les effets de mode ou la tendance au « greenwashing » ou décider de s’appuyer sur cette tendance. Car plus l’engagement environnemental paraitra opportuniste, plus il se répandra et avec lui des effets bénéfiques espérés.
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