Ce travail de transparence n’est pas une nouveauté mais il est ici réalisé de manière plus complète. « Ce sont 25 oeuvres documentées. Pour 22 d’entre elles, leur origine était déjà expressément mentionnée dans leur notice sur le site Internet du Musée. Dans le cas des trois oeuvres pour lesquelles cette information n’a pas été fournie, cela est dû au fait que leur mauvais état a fait qu’elles n’avaient pas d’entrée dans la section d’accès aux collections du site Web. Parmi ces oeuvres, 17 peintures ont été remises au Museo del Prado par la Division générale du patrimoine artistique national entre 1940 et 1942 ; 5 peintures ont été envoyées au Museo de Arte Moderno par la Division générale du patrimoine artistique national (1942) puis ont fait partie de la collection du Museo Español de Arte Contemporáneo (1968-1971); et 1 tableau a été remis au Museo de Arte Moderno de la Division générale du patrimoine artistique national (1943) mais est resté au Museo de Arte Contemporáneo et est passé au Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía, d’où il a été affecté au Prado en 2016 avec la réorganisation des collections. Sur la liste figurent également une corbeille à fruits et une horloge de la Direction générale du patrimoine artistique national » appuie le gouvernement espagnol.
L’étude qui sera publiée au début de l’année prochaine n’est pas annoncée comme un travail définitif. Des études plus approfondies ont été lancées pour déterminer si d’autres œuvres avaient aussi été confisquées par les institutions franquistes.
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