Pour éviter que le gaz ne remonte ou des problèmes environnementaux, les gaz captifs sont ensuite destinés à des grandes profondeurs dans des zones compatibles. Comme par exemple d’anciennes poches d’hydrocarbures vides. Mais la multiplication des investissements ouvrent de nouvelles portes comme la dissolution dans l’eau puis l’injection dans du basalte. Tandis que d’autres techniques permettent l’utilisation du CO2 recyclé, notamment pour exploiter des gisements d’hydrocarbures.
Connu depuis les années 1970, le stockage ou la réutilisation du CO2 n’ont pas révolutionné le secteur faute de démonstration de leur rentabilité. Un petit coup d’accélérateur a eu lieu en 2021 selon la filière qui avance le modeste chiffre de 71 installations sur les trois premiers trimestres. Ce qui pourrait changer la donne, explique Le Monde, c’est que les experts dans la lutte contre le réchauffement climatique prennent en compte cette technologie et soulignent la nécessité de retirer du CO2 de l’atmosphère pour atteindre les objectifs.
Pour en savoir plus ou lire la suite : Source | Lien vers l'article