Autre constante, la place plus que dominante des établissements parisiens ou de banlieue dans les classements. La considération uniquement de la réussite au bac n’est plus essentielle puisqu’un quart des lycées ont obtenu ce résultat. Seulement trois lycées du top 15 des privés ne sont pas en région parisienne. Pour le public aussi trois établissements sont dans le Top 15 mais aucun parmi les dix meilleurs.
Le Figaro note qu’un changement pourrait accentuer la différence entre public et privé : « À Paris, le lycée Henri-IV (2) et Louis-le-Grand (7) gardent aussi une bonne place dans le palmarès. Il est vrai que, jusqu’à présent, ces deux établissements parisiens avaient la main sur le recrutement de leurs élèves. En 2022, ce ne sera plus le cas puisqu’ils ont intégré Affelnet, le logiciel qui affecte les élèves dans le public. La question est de savoir s’ils verront, ou non, chuter leurs résultats. Ce classement montre en effet que, si certains lycées publics sont capables de rivaliser avec le privé, c’est bien parce qu’on leur a laissé une grande marge de liberté ».
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