Les cas les plus flagrants liés à des conditions de vie extrêmement dégradées par un environnement nocif ont chuté grâce aux efforts globaux sur les questions d’hygiène. Mais cette tendance a ralenti et désormais ce sont les effets des nouveaux modes de productions qui se sont globalisés, et avec eux les types de pollution modernes : « avec 6,3 millions de morts en 2019, ils ont crû de 7 % en quatre ans et de plus de 66 % depuis 2000 (environ 3,8 millions). Une dégradation qui s’explique, selon les auteurs, par l’effet cumulé d’une industrialisation à marche forcée, d’une urbanisation incontrôlée et de l’explosion démographique » explique le quotidien français.
Ceci étant dit, ce sont toujours les populations les plus pauvres qui souffrent le plus de la pollution avec plus de 9 décès sur 10 enregistré dans des pays pauvres, poursuit Le Monde : «La pollution de l’air (extérieur et intérieur) est le premier facteur de risque : elle représente environ 75 % des décès. L’exposition aux particules fines et autres oxydes d’azote est ainsi à l’origine de 6,7 millions de morts prématurés chaque année. Un chiffre en hausse (+ 200 000) par rapport à l’estimation de la première étude. Une augmentation accrue par celle des victimes de la pollution de l’air extérieur dont le nombre a bondi de 2,9 millions à 4,5 millions en l’espace de deux décennies. »
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