Bachelier il y a dix-neuf ans tout juste, le jeune homme de 37 ans met en valeur les filières d’excellence de la France dans son domaine. « Après un bac scientifique obtenu en 2003, le futur chercheur intègre le lycée Louis-Le-Grand à Paris, dans le Ve arrondissement. Il opte pour une classe préparatoire scientifique MPSI (mathématiques, physique et sciences de l’ingénieur) puis en deuxième année une classe MP* (mathématiques-physique étoilée, soit la classe la plus forte). Il réussit le concours, ce qui lui permet d’intégrer l’ENS (École normale supérieure), rue d’Ulm à Paris, d’où il sort agrégé de mathématiques. Il obtient en parallèle une master à la faculté des sciences d’Orsay (Paris-Saclay) » continue l’article publié dans la rubrique étudiante du quotidien.
Mais la Suisse peut aussi se réjouir de cette distinction exceptionnelle. Car après cette première partie de cursus en France, c’est bien de l’autre côté des Alpes que Hugo Duminil-Copin est allé pousser plus loin la recherche et donc atteindre un niveau académique qui a retenu l’attention du prestigieux prix. A l’Université de Genève, il avait en effet mené à bien une thèse « supervisée par Vladimir Smirnov, célèbre mathématicien russe », nous apprend Le Figaro.
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