Le recul de l’échéance est expliqué par la maire de Paris par le lancement d’études sur l’impact et l’opinion des Parisiens, commerçants et les conséquences en termes de transports publics. L’Autorité environnementale doit examiner le dossier sur demande de la mairie et rendre son avis avant l’automne.
La dernière étape consistera à convaincre la préfecture de Paris que ce projet ne posera pas de problèmes alors que l’ancien préfet, Didier Lallement, avait exprimé publiquement de « fortes réserves ». « La préfecture de police est en effet située en plein cœur du périmètre prévu pour la ZTL, sur l’île de la Cité. Pour l’ancien préfet, le projet de la mairie risquait d’engendrer «des difficultés pour la circulation des services de secours et de police en périphérie de la zone» ainsi qu’un «impact négatif pour l’activité économique de la capitale». Les relations entre la préfecture et la mairie se sont notoirement améliorées depuis le changement de préfet, même si des oppositions persistent, comme sur le projet de piétonnisation de l’axe de la Tour Eiffel, suspendu en raison de l’opposition de l’État » ajoute Le Figaro.
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